Aujourd'hui, c'est samedi et hier c'était vendredi. J'aime bien commencé par ce genre de phrases définitives qu'on ne peut contredire. Des vérités absolues qui n'apportent... rien finalement. C'est juste histoire de parler. En fait, c'est surtout pour vous dire que je commence une nouvelle rubrique sur mon blog : les clips. Et aussi que vendredi, c'est-à-dire hier, et ben, comme vous avez pu le constater, il n'y a pas eu de "chronique honteuse". Comme la semaine dernière d'ailleurs. Parce que pas le temps, pas l'envie, rien de spécial à dire. Bref, on commence donc avec un espagnol. Peut-être, parce que j'ai encore la tête à Barcelone. Pas facile, le retour au quotidien. En plus, le gars est de là-bas. Son album n'est pas vraiment renversant, mais le clip de son single "Bombay" est... Comment dire... Je vous laisse découvrir. Bon week-end à tous.
Après la parenthèse de l'iguane, revenons à de la douceur avec un nouvel album de l'écossais James Yorkston et son orchestre de seconde main suédois - The Second Hand Orchestra, c'est leur vrai nom - mené par Karl-Jonas Winqvist. Si je n'ai jamais parlé de leur musique ici, c'est sans doute parce qu'elle est trop discrète, pas assez moderne et que leurs albums devaient paraître alors que je donnais la priorité à d'autres sorties plus bruyantes dans tous les sens du terme. Je profite donc de l'accalmie du mois de janvier pour me rattraper. Cette fois-ci, avant de rentrer en studio avec leur orchestre, Yorkston et Winqvist se sont dit qu'il manquait quelque chose aux délicates chansons écrites par l'écossais. Une voix féminine. Et en Suède, quand on parle de douce voix mélodique, on pense évidemment à Nina Persson, l'ex-chanteuse des inoffensifs Cardigans dont on se souvient au moins pour les tubes " Lovefool " et " My favorite
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